On a beau être très riche et conduire une voiture extraordinairement rare, on demeure quand même un usager de la route comme tout le monde.
C’est ce qu’à appris à ses dépens le comédien américain Tracy Morgan . Quinze minutes après avoir quitté un concessionnaire de Manhattan avec sa nouvelle et rutilante Bugatti Veyron 16.4 Grand Sport 2012 (usagée mais qui lui a tout de même coûté 2 millions de $), il s’est retrouvé sur la même portion de rue qu’un Honda CR-V. D’après la scène, on imagine que le conducteur de ce dernier véhicule a voulu tourner à droite et a serré de très près la Bugatti.
Bref, un peu de tôle froissée et si ce n’était du prix et de l’exclusivité de l’auto blanche, ç’aurait été un accrochage des plus banals, comme il s’en passe des centaines par jour en Amérique du Nord. Sauf qu’ici, la facture pour réparer l’aile renfoncée d’une Veyron doit s’élever au coût total du CR-V!
En tout cas, moi qui étais juste sur le point de me procurer une Veyron, j’ai décidé de retarder mon achat. Trop dangereux.